Simplication

des procédures, des formulaires, des objets et des concepts

développement durable

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Le « développement durable » est dans l’air du temps. Ce concept s’inscrit dans de nombreux projets dont il est désormais une composante obligatoire au delà du simple effet de mode.

Dès lors, il est légitime de vérifier les interactions éventuelles entre la Simplification et le Développement Durable.

Mais qu’est ce que le développement durable ?

Le développement durable a été défini comme “le développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs” par le rapport Brundtland (du nom du Premier ministre de Norvège), publié en 1987. La préoccupation est donc écologique, économique et sociale ; au niveau des puristes, il s’agit de penser et gérer le monde « autrement »

Ainsi désormais dans le cadre d’un projet quel qu’en soit sa nature, le développement durable introduit un nouveau facteur à prendre en compte : il peut introduire des contraintes voire des « complications » … vocabulaire qui rapproche des préoccupations de la simplification.

Si on souhaite adhérer au concept de développement durable ou pour de basses considérations de marketing, un projet de simplification devrait donc être examiné en prenant en compte sa participation ou non aux critères du développement durable : contribution écologique, économique, sociale.

Dans certains cas la simplification proposée sera valorisée (exemple dans un circuit de documents on supprime une page, on économise ainsi du papier, de l’encre et donc on pollue moins), dans d’autres elle est susceptible d’être dévaluée (exemple dans une entreprise la simplification conduit à doter chaque employé d’une imprimante laser personnelle dont l’usage n’est pas forcément sans conséquences écologiques néfastes)…

Un nouvel axe de travail pour les simplificateurs ?

 

cultures

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Le thème de la simplification et des cultures recherche l'influence des différences nationales, culturelles, ou comportementales sur la simplification.

 

Il paraît presque évident que la perception de la complication et celle de la simplification sont directement influencées par les cultures. Un japonais n'a pas la même notion de simplification qu'un allemand. On rapporte que les chinois décryptent plus rapidement un logo au dessin complexe.

Les emballages de médicament ne sont pas les mêmes quelques soient les continents. La couleur rouge signifie-t-elle arrêt pour tous ? Pour les uns cette couleur représente même le dynamisme mais les feux tricolores appartiennent à une filière qui s'est imposée sur les continents (des normes parfois s'imposent pour communiquer comme dans la marine, le morse, etc) ; avec la même signification accordée au rouge, on peut décliner selon les environnements (secondes restantes, petit bonhomme qui accélère). En brousse africaine, l'eau courante perturbe le modèle social et le travail dévolu à la femme.

 

Alors qu'est ce qui est invariant ? Ce qui touche directement à l'homme et à ses sens. Dans toutes les cultures les hommes hésiteront à entreprendre devant un signe flou. Le labyrinthe est partout. La tribu connaissait la signification de un point, de deux points mais trois points ... de même pour le manuel qui ne présente des boutons absents de la machine qu'il se proposait d'expliquer. Les invariants (ou stéréotypes) sont les symptômes de complication.

 

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taxonomie

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Nous connaissions (?) les 9 règles de simplification : anticipation, bas & haut, contrainte, diminution, exception, forme, globalité, hétérogénéité, insigne & symbole.

Mais il nous faut aller plus loin qu'une classification du comment faire pour organiser les simplifications.

Je proposerai de les classer selon leur champ d'application (administratif, industriel, etc) ou bien selon les résultats attendus ou leur force (entre suppression totale, recommandation pour éviter l'invasion de la complication

 

 

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Le dénuement, un pas trop loin de la simplification.

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Nous abordons là les limites de la simplification. Devons-nous, avec Saint-Exupéry, affirmer qu'un système est parfait quand on ne peut plus rien lui retrancher ou bien tempérer, comme Einstein, qu'il faudrait tout simplifier mais pas plus.

 

En fait, il semble que deux niveaux soient quelque peu enchevêtrés, celui de la simplification rationnelle, des techniques et celui plus humain de la perception du dénuement.

 

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élégance de la simplicité - simplicité de l'élégance

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L'élégance et la simplicité sont souvent conjugués ensemble car la simplicité emporte une évocation de la beauté et suggère la pureté.

 

Si l'on vante une démonstration mathématique d'élégante c'est qu'on y dénombre peu d'éléments et qu'elle s'oppose ainsi à une présentation besogneuse. Je me rappelle que pour démontrer une intersection de deux courbes l'analytique fournissait un arsenal lourd alors que la géométrie procédait par finesse.

 

Beaucoup semblent aussi s'emporter contre une mode qui associerait la complexité et l'intelligence. Ils prônent la simplicité comme véritable moteur de notre monde.

 

Lire sur Volle.com (http://www.volle.com/opinion/sobriete.htm) une réflexion sur la sobriété.

 

 

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heure d'été

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Deux fois l'an nous changeons d'heure. Nous nous y conformons et nous nous y confrontons. D'autres propos que les nôtres portent sur le bien fondé de l’heure d’été ; nous voulons ici seulement décortiquer les complications que l'on observe et expérimente quand on passe à l’heure d’été (ou qu’on revient à l’heure dite d’hiver) et y apporter quelques simplifications.

Avant d'y plonger, recherchons, dans l'histoire et la philosophie, le propriétaire du temps. Le temps appartient à un groupe social - individuellement nous n’avons pas besoin de montre c’est le groupe qui la réclame-. Quand les groupes s’exacerbent en combat, le temps traduit un pouvoir. Les vainqueurs, quand ils sont voisins, aiment imposer leur heure, ainsi la France en 39 était à l’heure de Berlin. Dans le registre de la comédie, le campanile de Don Camillo et le carillon de Pepone rivalisaient pour sonner le premier.

On justifie le changement d’heure par la diminution d’énergie et si le changement s’effectue la nuit, à deux heures du matin, c’est pour affecter le moins de personnes possibles et les activités qu'elles mènent. Ce sont des raisons économiques. Le nouveau pouvoir est-il donc économique ?

 

La nécessité de connaître le temps répond à des codes et au besoin de repères qui découlent des étoiles pour naviguer. Le marin ne sait où il se trouve sans calculer le temps, sans prévoir. Pas de quand, pas de où ! L’heure concerne les hommes, le vivant et aussi les machines car elle nous fait côtoyer à la fois le moment et la durée. Le moment recherche la synchronisation d’un lien dans un contact téléphonique ou une émission de télévision étrangère tandis que la durée, raccourcie ou prolongée par le changement, nous parle de sommeil, de cuisson, d'exposition aux radiations ou de cristallisation.

 

Nous ne sommes pas les seuls à pratiquer l’heure d’été –elle est assez courante dans les régions tempérées- .Cela vous consolera-t-il des complications qu'elle engendre ?

 

La mise à l’heure des différentes horloges domestiques est déjà compliquée par leur nombre et vous aurez remarqué que nous en possédons de plus en plus ; pour ajouter à la gymnastique, le temps de s’occuper de l’une puis de l’autre décale d’autant le temps de référence. Et nous avons toujours une montre ou une pendule numérique tordue qui réclame 3 minutes pour la mise à jour.

 

La diversité de comportement des différents pays accroît la complication. Il faut réfléchir pour ne pas trop déranger avant un appel téléphonique en France métropolitaine depuis l’étranger. C’est le manque de pérennité de l’écart qui génère l’indécision (alors que de nombreux pays qui se trouvent hachés en de multiples fuseaux horaires, l'Amérique, l'Australie ou la Russie, paraissent s’en accommoder).

 

La nature est rebelle à nos changements pour ne s’être jamais inquiétée de l’heure ; la dame de onze heures ouvre ses fleurs au même moment de la journée et la belle de nuit dispose de toute la soirée pour exhaler son parfum. Quel est le bon moment pour traire les vaches et donner la soupe aux chiens ? Les bêtes ne comprennent pas nos fluctuations. L'arrosage des plantes présente une moindre difficulté puisque, de toutes façons, elles demandent plus d'eau en été.

Quant aux humains, il leur faut une semaine pour tout recaler et les défauts d'attention sont multiples dans les écoles, les usines et les hôpitaux.

Les programmations basées sur la durée biologique ou médicale, tels la dialyse ou l'administration de morphine, s'exposent plus aux erreurs. Craignons aussi l'erreur du relâchement d'eau d'un barrage.

 

En fait, il nous faut gérer trois procédures : la première en avril, la seconde en octobre et la dernière pour tout le reste de l'année. Une mauvaise compréhension et ce sont deux heures d'erreur.

 

Les transports collectifs publics sont particulièrement exposés. De l’été à l'hiver, à 2h00 les trains s'arrêtent et attendent sans bouger une heure. Dans l'autre sens c'est un peu plus délicat car il est deux fois 2 heures du matin ! Les arrêts en gare prévus entre 2h00 et 3 h00 du matin ne sont plus respectés (mais il y en a peu !) ou, plus prosaïquement, les transporteurs évitent de programmer des départs à ces heures là.

 

Immuablement, le bouillon de onze heures reste toujours à éviter.

 

Le plus simple, le plus naturel et le moins perturbant physiologiquement serait de ne rien changer. Au lieu de décaler les horloges, on décalerait les activités d’une heure ; on commencerait ainsi la journée, pendant un semestre, à 8h et pendant l’autre semestre, à 9h. Nous nous y habituerions, tout comme nous dînons plus tard, naturellement, en été… et que nous y mangeons plus de tomates.

Observons, à propos des tomates que, malgré tous les efforts de décalage des horloges, les jardiniers commencent à travailler plus tôt en été. Sur la fresque rupestre des temps anciens, les fenaisons savaient s’étaler sur les longues journées d'été. La technologie vient aussi en renfort : à cause des difficultés de synchronisation des ordinateurs, la tendance est de garder la même heure toute l’année.

 

Les horloges suivent un traitement de simplification spécifique et certains en viennent à recommander de ne pas regarder les horloges superflues. En lieu et place du luxe de posséder des montres pour l’été et d’autres pour l’hiver, est évoquée la montre à deux cadrans.

 

En bref, nous tous souhaitons ne plus nous en occuper. Vivent les horloges radio-pilotées, gérant la date par programmation interne ou de référence par foyer ou groupe social ! Reste une question qui taraude le propriétaire du réveil incorporé au téléphone portable : se met-il à jour automatiquement ou pas ?

 

Foin d'automatisme, nous disposons à présent d'un moyen mnémonique : AVril (on AVance) / octobRE (on REcule).

 

Si tous les pays d'un même fuseau horaire se décalaient de concert cela éviterait la diversité de comportement. Toujours au sujet des pays lointains, la marine nous fait découvrir le changement lent et glissant quand le bateau navigue d'un fuseau horaire à l'autre.

 

 

Pour les cieux, offices et prières sont-ils décalés ?

Allez ! Sonnez les matines !

 

 

 

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monaie

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Compréhension

Etymologie :

«Monnaie» vient du verbe latin monere, qui signifie « avertir ». En effet, la monnaie romaine fut d'abord frappée dans un atelier monétaire voisin du temple de Junon Moneta, — Junon « qui avertit » — sur le Capitole. Ce temple avait reçu ce surnom suite à l'épisode des oies du Capitole.

«Crédit» vient du latin creditum, supin du verbe credo. Donc, littéralement, la croyance que celui qui emprunte pourra rembourser.

«Fiduciaire» vient de l’adjectif latin fiduciarius, de fiducia qui signifie «confiance».

 

Définition :

La monnaie est un instrument de paiement accepté de façon générale par les membres d’une communauté en règlement d’un achat, d’une prestation ou d’une dette. Aristote l’a définie en lui accordant trois fonctions : l’unité de compte (pour le calcul économique et la comptabilité), la réserve de valeur, et la fonction d’intermédiaire des échanges.

 

Historique :

Le troc a précédé l'échange monétaire utilisant des coquillages, du sel, des bestiaux, des pierres,…. selon les époques, les lieux, les populations…. Il n’a cependant pas disparu et est même repris par le SEL (Système d’Echange Local).

Pour qu’un échange puisse se réaliser sous forme de troc, il faut que la condition de « double coïncidence des désirs » soit effective, ce qui laisse apparaître la difficulté de mesurer l’équitabilité de la valeur des biens échangés.

Afin de pallier cette difficulté, la monnaie a succédé au troc dans les sociétés modernes, sans toutefois disparaître.

La monnaie grecque : On donnait dans l'antiquité le nom d'alexandres aux monnaies frappées par Alexandre le Grand, en or, en argent et même en bronze. Le lexicographe Pollux compte les alexandres parmi les monnaies d'or les plus populaires, à cause de leur bon aloi. Ce fut également une des monnaies les plus répandues géographiquement.

La monnaie romaine : C’est de toutes les monnaies antiques celle qui a connu la plus longue et la plus grande expansion géographique, jusqu'à devenir durant plusieurs siècles la monnaie commune du monde occidental et méditerranéen. Après des débuts frustes basés sur le bronze au poids et l'usage du monnayage grec, elle s'est constituée à la fin du IIIe siècle av. J.-C. selon un système monétaire fondé sur le bimétallisme argent et bronze.

 

Pour exemple, l’enveloppe d’argile en Mésopotamie :

1- Les calculi qui étaient de petites pièces d'argile qui servaient pour calculer.

2- La bulle-enveloppe. Lors d'une transaction commerciale, les Sumériens formaient une boule en argile dans laquelle ils plaçaient les calculi.

Le total des calculi correspondaient à la valeur transaction.

cas de litige, ils cassaient la bulle pour contrôler le nombre de calculi.

3- Les signes correspondent à une valeur : en cas de litige, les Sumériens trouvèrent une formule pour ne pas casser la bulle. Ils formèrent sur la surface de la bulle de petits trous de différentes grandeurs. Chaque trou avait la valeur d'un calculi. La valeur des calculi qui se trouvaient à l'intérieur de la bulle-enveloppe correspondait à la valeur des calculi qui étaient dessinés sur la surface de la bulle-enveloppe.

4- Pourquoi façonner des bulles avec des calculi s'il n'est jamais nécessaire de les casser ? On aplanit les bulles-enveloppes, elles devinrent des tablettes où l'on inscrivit dans un premier temps des signes pictographiques

 

La monnaie révèle le caractère social

inventaire

Les formes de la monnaie :

La monnaie divisionnaire en pièces

La monnaie de papier (billet de banque)

La monnaie scripturale (carte de paiement, chèque, virement, traites, lettres de change……)

La monnaie électronique (Monéo, le porte-monnaie électronique)

 

Il peut y avoir ici un échange anonyme par le biais de la monnaie divisionnaire ou de papier, mais cet échange devient identifiable dés que la monnaie scripturale est utilisée. Apparaissent alors certaines pratiques afin de contourner l’identification (Pour exemple, l’anecdote de l’entreprise créée sous le nom de « Trésor Publicité »).

 

La création de monnaie scripturale par le crédit bancaire :

deux excellents liens qui permettent de comprendre très facilement ce procédé pourtant complexe :

http://www.dailymotion.com/video/x75e0k_l-argent-dette-de-paul-grignon-fr-i_news

http://www.dailymotion.com/video/xbqww7_l-argent-dette-2-promesses-chimeriq_news

 

 

Complications

L’association avec des dates de valeur par exemple,

La diversité des devises et leur changement de validité avec les territoires (le territoire géographique d’une monnaie = le territoire politique).

L’absence de monnaie est paralysante. Cela posera un problème si la personne sans monnaie se trouve dans des lieux où elle n’est pas connue.

 

 

LA SIMPLIFICATION, ENNEMIE DE LA FINANCE. Les financiers n’ont pas intérêt à la simplification dans la finance. C’est la sophistication des produits financiers qui leur permet de “diluer” leur éventuelle toxicité, et de réaliser d’avantageuses plus values à court terme, même si cela doit provoquer des catastrophes à terme : “Par ici les boni immédiats, et après moi le déluge !”

 

Simplifications

Ecarter les pièces du système monétaire.

 

Monnaie unique. Par ailleurs il y a des signes forts d’une évolution vers une monnaie mondiale unique. J'ai souvent pensé à la suppression des monnaies. à la fin ma conclusion est " l'échange de biens et de services", mais cela ne me semble possible qu'à petite échelle, et ne permet pas aux états de taxer ces échanges de biens et de services (BB).

 

Moyens de paiement

On sait par exemple que bientôt on sortira d’un super-marché sans passer par la “caisse”. Le paiement se fera par télé-saisie du contenu du chariot et imputation directe sur notre compte, sans manipulation de marchandise ou de titre de paiement. (Armand).

41 % des Français seraient prêts à payer via leur téléphone mobile.

Ce qui motive le plus les sondés pour adopter le paiement mobile : avant tout la simplicité citée par 82 % des personnes favorables à ce changement, puis la rapidité (51 %). En revanche, la sécurité semble le principal frein, largement exprimée (79 %) par ceux étant opposé au paiement mobile. Le coût (29 %) et la complexité (21 %) sont les deux autres obstacles les plus craints.

Quant aux services bancaires sur mobile, ils seraient attendus par près d'un tiers des Français (31 %) qui souhaiterait pouvoir retirer du liquide à un distributeur de billets via leur téléphone portable, sans carte bancaire. Même niveau d'adhésion pour la possibilité d'envoyer un micro-paiement via des services comme Twitter. Transférer de l'argent d'un téléphone portable à un autre et payer en donnant son numéro de mobile plutôt que son numéro de carte de crédit font moins recette auprès des sondés avec respectivement 19 % et 13 % de réponses favorables. Bruno Askenazi -- Copié et collé par Alain (AA)

 

Divers

Grille d’analyse : qui paie (état pour les billet, le commerçant pour la carte) / protection (sécurité, méfiance fiscale) / hauteur (centime, milliard) / usage (particulier à particulier, à commerçant, …)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Monnaie (Ph M)

Un exellent site ron paul (Xav)

 

 

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moins de contact

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Pour diminuer le nombre de nos contacts, il suffirait d'abord de ne pas trop en saisir de nouveaux ou de les laisser en attente durant une période probatoire. Réciproquement, la péremption sur date ou quand on ne sait même plus de qui il s'agit est une autre technique d'élimination qu'elle soit définitive ou pour mise en archive. La délégation à une personne pivot ou à une ruche d'informations de type Bottin, jusqu'à une forme d'externalisation vers des société de mailing, est une façon certaine de se désengorger. Mieux ! Laissons l'autre s'en charger puisqu'il peut, dans les réseaux sociaux, se désabonner de la relation.

 

La notion d'utilité est prépondérante ; elle nous sert à filtrer et segmenter pour réorganiser, enrichir ou jeter. Alors une cartographie de nos contacts serait bienvenue. Existe-t-elle ?

 

Les fonctions pour manipuler les contacts sont la saisie (pourquoi pas orale ou automatisée), la mise à jour, l'effacement, la sauvegarde, le classement, la recherche, la mise en relation, l'exploitation (transfert, partage) et l'assurance d'intégrité.

 

Selon les segments (amis, profession, etc) et les supports (papier, ordinateur, ...) les fonctions sont diversement impliquées.

 

 

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l'affichage obligatoire, entre contrainte et information.

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Les obligations de dire ou d'écrire se multiplient et, par exemple, les contrats et les modes d'emploi s'allongent de précautions ridicules comme de ne pas mettre le chat dans le micro-onde.

Pour les salariés de l'entreprise, les informations obligatoires sont affichées sur un tableau. L'égalité de rémunération entre hommes et femmes y est épinglée et côtoie l'interdiction de fumer.

 

Qui lit ce fatras ? La forme désuète de la vitrine dans le couloir dessert à la fois la compréhension et les connaissances.

On pourra sûrement imaginer plus efficace et mieux présenté.

 

 

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Les Toupicks accèdent à la démocratie

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Les 3 millions de Toupiks fondent leur démocratie ; ils rédigent quatre pages bien lisibles pour une constitution. Puis ils élisent un gouvernement pour 5 ans.

 

En revanche, ils se passent de représentants du peuple et privilégient la technologie et les réseaux ; leurs lois naissent par effet de groupe.

 

Ils mettent en place, pour une plus longue durée, un comité de régulation pour rendre la justice, contrôler le gouvernement, veiller au réalisme et à la constitutionnalité des lois proposées et participer à l'élévation des consciences pour maintenir le contrat social.

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